Une quantité croissante d’œuvres contemporaines intègrent ou réfèrent à des espèces végétales ou animales. Mais quels rapports avec le vivant ces œuvres traduisent ou induisent-elles ? Est-ce que l’hybridation des connaissances, des matériaux, des pratiques et des formes qu’on y observe infuse une nouvelle conception du vivant ?