Un nuage qui porte un nom – Les danses fantômes de Loïe Fuller (25’)
par Patrick Gaïaudo
Cette performance fait partie d’un cheminement sur les traces d’un processus créatif, celui de Loïe Fuller, danseuse américaine et pionnière de la danse moderne, et de son dispositif Danse Serpentine. Dans le cadre de la démarche de Patrick Gaïaudo, performances, conférences, projections, photomontages jouent sur le même principe d’exploration de ce qui se donnait à voir au présent, dans le passé. Il s’agit de reconstruire l’expérience d’une première fois.
Witch Dance (20’)
par Juan Cardenas
Basée sur une archive de la pièce éponyme de Mary Wigman (1914), cette performance s’appuie sur un fragment de notation, procédé de consignation du mouvement par écrit.
La performance est le résultat de recherches à la fois mathématiques, graphiques et de mouvement, basées sur la notation de cette pièce. Un danseur y utilise la mémoire, les archives et son corps, sans objectif de réinterprétation ou de duplication de la pièce originale.