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Cours
13 Mar.
18:30
20:00

13.0320.0327.0303.04

Cycle : 28€
Séance : 8€
Gratuit : voir pages infos pratiques
En français

Cours
13 Mar.
18:30
20:00

Art et vandalisme(s):
les leviers d’une « violence à l’œuvre »

Cours par Olivier Duquenne

En quatre séances, l’historien de l’art Olivier Duquenne abordera le vandalisme dans l’art et vous révélera combien les différentes violences faites à l’encontre de l’art portent en elles des significations bien précises, souvent de l’ordre de la revendication ou de la critique. Pourtant, le cycle montrera aussi comment le vandalisme peut être acte d’amour… Objets d’admiration et de vénération, les peintures et les sculptures attisent de nombreuses passions ou convoitises. Embrassées, maculées, déboulonnées, lacérées, incendiées ou souillées, elles peuvent être complétées, modifiées voire incluses dans un acte de création par certain·es artistes contemporain·es adeptes d’un vandalisme « créatif ». Les « vandales » sont conscient·es du retentissement important de leurs actes. Iels connaissent la valeur financière, culturelle, ou symbolique des œuvres auxquelles iels s’attaquent. L’essor du musée a renforcé le processus de sacralisation et de fétichisation de la production artistique. L’institution muséale a transformé les fonctions sociales des œuvres d’art et le regard porté sur elles. Isolées du quotidien et figées dans un environnement voué à leur conservation, elles sont aujourd’hui devenues intouchables. C’est ce type de sacralisation qui est remis en cause par les « vandales » qui opèrent aujourd’hui dans nos musées. Mais ce cycle se consacrera essentiellement au vandalisme comme acte d’hommage voire d’amour. Depuis les très anciennes dévotions aux statues et objets sacrés jusqu’au « baiser rouge » posé sur une peinture de Cy Twombly par l’artiste cambodgienne Rindy Sam, l’acte qualifié de vandalisme ne prétend pas toujours se poser comme offense mais plutôt comme lien charnel et spirituel à une œuvre vénérée.

Cours
13 Mar.
18:30
20:00 Série d'événements

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En quatre séances, l’historien de l’art Olivier Duquenne abordera le vandalisme dans l’art et vous révélera combien les différentes violences faites à l’encontre de l’art portent en elles des significations bien précises, souvent de l’ordre de la revendication ou de la critique. Pourtant, le cycle montrera aussi comment le vandalisme peut être acte d’amour… Objets d’admiration et de vénération, les peintures et les sculptures attisent de nombreuses passions ou convoitises. Embrassées, maculées, déboulonnées, lacérées, incendiées ou souillées, elles peuvent être complétées, modifiées voire incluses dans un acte de création par certain·es artistes contemporain·es adeptes d’un vandalisme « créatif ». Les « vandales » sont conscient·es du retentissement important de leurs actes. Iels connaissent la valeur financière, culturelle, ou symbolique des œuvres auxquelles iels s’attaquent. L’essor du musée a renforcé le processus de sacralisation et de fétichisation de la production artistique. L’institution muséale a transformé les fonctions sociales des œuvres d’art et le regard porté sur elles. Isolées du quotidien et figées dans un environnement voué à leur conservation, elles sont aujourd’hui devenues intouchables. C’est ce type de sacralisation qui est remis en cause par les « vandales » qui opèrent aujourd’hui dans nos musées. Mais ce cycle se consacrera essentiellement au vandalisme comme acte d’hommage voire d’amour. Depuis les très anciennes dévotions aux statues et objets sacrés jusqu’au « baiser rouge » posé sur une peinture de Cy Twombly par l’artiste cambodgienne Rindy Sam, l’acte qualifié de vandalisme ne prétend pas toujours se poser comme offense mais plutôt comme lien charnel et spirituel à une œuvre vénérée.

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En quatre séances, l’historien de l’art Olivier Duquenne abordera le vandalisme dans l’art et vous révélera combien les différentes violences faites à l’encontre de l’art portent en elles des significations bien précises, souvent de l’ordre de la revendication ou de la critique. Pourtant, le cycle montrera aussi comment le vandalisme peut être acte d’amour… Objets d’admiration et de vénération, les peintures et les sculptures attisent de nombreuses passions ou convoitises. Embrassées, maculées, déboulonnées, lacérées, incendiées ou souillées, elles peuvent être complétées, modifiées voire incluses dans un acte de création par certain·es artistes contemporain·es adeptes d’un vandalisme « créatif ». Les « vandales » sont conscient·es du retentissement important de leurs actes. Iels connaissent la valeur financière, culturelle, ou symbolique des œuvres auxquelles iels s’attaquent. L’essor du musée a renforcé le processus de sacralisation et de fétichisation de la production artistique. L’institution muséale a transformé les fonctions sociales des œuvres d’art et le regard porté sur elles. Isolées du quotidien et figées dans un environnement voué à leur conservation, elles sont aujourd’hui devenues intouchables. C’est ce type de sacralisation qui est remis en cause par les « vandales » qui opèrent aujourd’hui dans nos musées. Mais ce cycle se consacrera essentiellement au vandalisme comme acte d’hommage voire d’amour. Depuis les très anciennes dévotions aux statues et objets sacrés jusqu’au « baiser rouge » posé sur une peinture de Cy Twombly par l’artiste cambodgienne Rindy Sam, l’acte qualifié de vandalisme ne prétend pas toujours se poser comme offense mais plutôt comme lien charnel et spirituel à une œuvre vénérée.

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